…Connus, enfin.
C’est terrible !
Pour justifier leur défaite, les partisans de Laurent Gbagbo accusent à tout va l’ONUCI et la Force française Licorne, comme si ce sont les autres nationalités qui avaient voté en faveur du président démocratiquement élu, Alassne dramane Ouattara. La force légitime pour mettre le méritant au pouvoir après la forfaiture de la Cour constitutionnelle est détournée selon leur dialectique morbide et mortifère en….coup d’Etat. De quoi mourir de rire et leur donner une légitimité, galvaudée surtout.
Les criminels savent aussi faire de la propagande. Figurez-vous que les massacres de Duékoué attribués en partie aux Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et aux partisans de Laurent Gbagbo. Alors que tout le monde s’était bel et bien trompé sur les massacres de Duékoué, petit à petit, la vérité survient, le mystère élucidé de ce massacre a dorénavant un nom: Laurent et Simone Gbagbo.
Le constat de vérité est enfin connu. Les populations de Duékoué qui ont été assassinés, 300 tout au plus alors que les pro-Gbagbo gonflent les chiffres, l’ont été, figurez-vous et c’est là que le bât blesse, 48 h avant que la ville ne soit libérée. En réalité, sentant leur défaite, les miliciens et mercenaires libériens de Laurent Gbagbo, accompagnés de la défunte Force de défense et de sécurité (FDS) ont pris la poudre d’escampette car, la progression des FRCI était éclair. Dans cette fuite, ils ont donc commis l’irréparable. En perpétuant ces tueries pendant leur débandade, ils voulaient que le chapeau soit porté par les forces pro-Ouattara... Un scénario savamment étudié, morbide et mesquin, pour leur chaos qu’ils continuent de vouloir installer en Côte d’Ivoire.
Les forces pro-Gbagbo sont coutumières de ce genre de forfaits à chaque fois qu’elles sont en déroute. C’est encore le cas après la fuite de Yopougon. Hélas, dans ce cas d’espèce, les preuves qui sont désormais en possession de l’ONU et des organisations non-gouvernementales sont imparables. La vérité finit toujours par triompher comme avait dit feu, l’ancien président camerounais, Ahmadou Ahidjo. Tous ces documents sont déclinés en vidéos ou supports écrits et par conséquent, les coupables ne pourront aller se cacher nulle part. Le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara a d’ailleurs déclaré qu’aucun crime de sang ne sera pardonné. On comprend donc pourquoi ses détrzacteurs veulent lui attribuer cette tuerie.
Plus dure sera leur chute !