Lorsque le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn se retrouve dans sa chambre d’hôtel, ou plutôt dans sa suite royale de l’hôtel Sofitel (346 chambres) de New-York, au 45 West 44th Street, à proximité de Grand Central Station dans le Midland (Times Square, Broadway theaters) pour ceux qui connaissent Big Apple (New York), il vient de passer une soirée arrosée, en compagnie de jeunes dames, selon une source bien informée, ce qui le pousse à se réveiller aux environs de 12h, heure américaine…
Alors que la jeune femme, une Africaine Américaine passe à son étage pour s’occuper de la suite « deheskale »- passez-moi l’expression-, munie des clés, elle ne se rend pas compte que ladite suite est occupée puisqu’elle a frappé avant de s’y introduire. Lorsqu’elle voit apparaître derrière elle comme par enchantement un homme blanc nu, elle panique. Il la rassure. Ensuite, ce dernier la dévore des yeux et l’entraîne vers son lit.
La jeune femme allait se débattre comme elle pouvait, avant de s’échapper. Je vous fait grâce des pages croustillantes que détient la police new-yorkaise. Puis, sentant qu’il y avait danger, DSK s’est précipité par la porte de service, pur s’éclipser de l’hôtel. Dans sa fuite, selon la police, il oublie son téléphone portable, une cravate, un stylo et un petit carnet d’adresse. La police a récupéré la serviette de l’hôtel et un gant de toilette pour des tests ADN qui auraient déjà parlé…
Alors que la police atteste aussi qu’il devait prendre son avion un peu plus tard, sa précipitation à l’aéroport JFK pour prendre l’avion, laisse dire aux flics qu’il a voulu fuir. Convoquée au commissariat de Harlem, la jeune femme a fermement reconnu son « agresseur ». C’est ainsi que son signalement a été donné et puis, il a été cueilli dans son avion qui s’apprêtait à se rendre à Paris. La partie se joue dans quelques instants. Nous y reviendrons après le verdict dans quelques heures.