Je suis en colère et il faut que je me défoule (après tout, ça sert aussi à ça un blog).
Avec Chéri, nous avons décidé d’aller faire un petit jogging ce soir sur la piste piétonne/cyclable près de chez nous.
Tous allait très bien. Nous avons croisé plusieurs joggeurs et cyclistes sans aucun problème.
Jusqu’à ce que, sans prévenir, je me fasse rentrer dedans par une cycliste. Son mari n’a rien trouver de mieux à faire que de commencer à nous engueuler, mon copain et moi, qu’on avait pas d’affaire sur une piste cyclable (je suis pas folle, selon le Ministère du Transport, ce panneau indique très clairement voie réservée aux piétons et aux bicyclettes).
Monsieur, si vous trouviez que nous prenions trop de place sur la piste (ce qui n’est pas vrai, mais bon), vous auriez pu :
- Nous doublez. Vous aviez un kilomètre pour nous voir et 600 m devant nous, c’était sur terrain plat. En plus, il y a justement une ligne pointillez à cette effet.
- Nous prévenir, ça sert à ça une sonnette ou sinon la voix (et ça, vous en aviez beaucoup pour nous insulter) et avec un kilomètre, vous ne pouvez pas dire que vous ne nous avez pas vous, je vous rappel que vous aviez un kilomètre pour penser à ce que vous alliez faire. Je me serai mit sur le côté.
- Ralentir pour passer plus doucement à côté de nous (ce que je fais toujours quand je suis à vélo et ce qu’on fait les gens que nous avions rencontrer avant vous). Je veux bien croire que vous vous pensez un grand sportif, mais ce n’est pas une raison pour rouler à plus de 15 km/h quand il y a du monde.
Et je vous rappel, que même si j’aurai été plus à droite, vous m’auriez rentrer dedans quand même, puisque le mètre qui restait à côté de moi ne vous à pas suffit à m’éviter.
Merci de ne pas vous être inquiété pour moi, j’ai mal, mais je vais m’en sortir. La prochaine fois, réviser votre guide de la route et garder vos insulte pour vous. Je serai restée volontier pour vous aider, mais vos insultes m’ont fait continuer mon chemin.