"Des atteintes aux droits humains sont toujours commises contre des partisans avérés ou supposés de Laurent Gbagbo à Abidjan et dans l'ouest du pays", a indiqué Gaëtan Mootoo, chercheur d'Amnesty International spécialiste de l'Afrique de l'Ouest. "Le fait qu'Alassane Ouattara n'ait pas condamné ces actes pourrait être perçu par de nombreux membres de ses forces de sécurité et d'autres éléments armés combattant à leur côté comme un feu vert pour continuer de les perpétrer. Alassane Ouattara doit déclarer publiquement que toutes les violences contre la population civile doivent cesser immédiatement."
Une délégation d'Amnesty International qui a passé plus de deux mois en Côte d'Ivoire a recueilli plus de 100 témoignages de personnes ayant survécu à un massacre le 29 mars 2011 à Duékoué (à environ 500 kilomètres à l'ouest d'Abidjan) et dans des villages voisins.
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