Magazine Journal intime

Le paradoxe de la fête des mères

Publié le 01 juin 2011 par Frédérique Paresseuse

Fêtes des mères 2011 
Le collier en nouilles n'est plus... Vive le collier en pâte à sel (remember) !

Fin, discret, léger, il a tout pour plaire.

Et vous voilà condamnée à le porter au risque de faire pleurer votre louloute si fière de vous l'avoir fait... et de passer pour une mauvaise mère, le seul jour de l'année où il faut vraiment assurer.

De deux choses l'une.

Soit la fille du centre de loisirs qui le lui a fait faire n'a pas d'enfants et n'a pas conscience de tout ce qui se joue derrière un cadeau comme ça.

Soit, elle me déteste secrètement.


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