arHsens édiTions, 224 pages, février 2011, 18 euros
note de lecture pour le site et blog les-agents-litteraires.com
Excellent titre pour un roman très original, drôle, cynique et attachant.Il n’y a pas tromperie sur la marchandise, ou si peu !
Eric Gilberh nous donne effectivement sa recette pour transformer en aventurier coureur de brousse urbaine, un hippie velléitaire récupéré par la société qui s’aperçoit un beau jour qu’il a cinquante ans.
J’ai reconnu et aimé dans son Gabriel Poussin, un descendant de Tartarin de Tarascon encore plus raté et pathétique que le héros naïf et berné de Daudet.
Car Eric Gilberh ne ménage pas son personnage...
Le roman est en deux parties.
Elles s’articulent autour de l’anniversaire de naissance du héros qui bascule dans son second demi-siècle.