J’observe actuellement la tendance dans les salons d’aquarellistes en France, de séparer les artistes amateurs des artistes professionnels. C’est une façon de ne pas « mélanger les torchons et les serviettes ».
Insidieusement, dans l’esprit des uns et des autres, s’opère un clivage, à mon avis influencé par les « marchands du temple »
Un peu comme au foot dans les faits, l’on classe les artistes en au moins cinq catégories : 1/ les maîtres, de préférence internationaux = 2/ les professionnels agréés par les jurys des « grands » salons, qui ont les honneurs des magazines spécialisés =3/ autres professionnels = 4/ les amateurs, sans oublier . . . 5/ les débutants
Tout ceci est bien artificiel et répond à « l’aquarellement correct », aux conventions qui perpétuent un classicisme de bon aloi. Mais heureusement le talent est mieux partagé et se rencontre dans toutes les catégories évoquées. Souvenons nous du Salon des Refusés
Je pense être assez passionné par l'aquarelle et avec les moyens de ce blog, en être un défenseur, pour être autoriser à donner ici mon sentiment. J'espère que cette liberté de ton ne choquera pas mes nombreux amis aquarellistes . . . de toutes catégories