Avant toute chose mettons-nous d’accord sur ce qu’est la censure:
« La censure est la limitation arbitraire ou doctrinale de la liberté d’expression de chacun. Elle passe par l’examen du détenteur d’un pouvoir (étatique ou religieux par exemple) sur des livres, journaux, bulletins d’informations, pièces de théâtre et films, etc. — et ce — avant d’en permettre la diffusion au public. Par extension, la censure désigne différentes formes d’atteintes à la liberté d’expression, avant et/ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori). On distingue la censure politique (limitation par le gouvernement de la liberté d’expression) de la censure indirecte, non officielle, mais sous forme de pression, en particulier une forme de censure économique (due notamment à la concentration des médias, etc.) ; on peut aussi ajouter les phénomènes d’autocensure. »
La Tunisie, 6 mois après sa libération a finalement succombé encore une fois au plus lâche des actes la censure. En Tunisie donc la liberté vient de se voir énuclée et percé un tympan!
Demain notre Liberté « مؤقتة » se fera exciser car ressentir le plaisir représentera un grave danger pour les bonnes moeurs. Ensuite elle se fera une réduction mammaire, pour ne pas tenter la bête qui est en nous,… bref on aura une liberté en burqa.
Encore une fois la preuve que nous n’avons pas vécu une révolution mais juste un coup d’état qui est à l’image de notre beau pays: « Nimporte Nawak » d’où l’explication de pourquoi tout par en couille!
Q’importe donc,… dirons certains et bien non, pour une fois que nous pouvons faire quelques chose.
Donc la question que je vous pose à vous tous et surtout aux juristes, comment attaquer une telle décision?
Sinon Ammar Ya Hmar Eat This!