BP Mortelle hôtesse
Bernard Pasobrola
Broché: 320 pages
Editeur : La Vie du Rail (31 mars 2011)
Collection : RAIL NOIR ISBN-10: 2918758272 ISBN-13: 978-2918758273 Prix 15 €
Des passagers décèdent de mort pas tout à fait « naturelle » à bord du TGV Paris-Londres. Un homme est kidnappé dans une clinique de thérapie génique près de Genève. Un virus inconnu cause une épidémie de cécité à Anvers. Les militantes d’une ONG lancent une campagne de presse qui s’achève par une sanglante tuerie dans un hôtel de Londres. Quelqu’un découvre qu’il existe un lien entre cette série d’événements. Il se nomme Richard Meyer. Il est agent de renseignement pour le compte d’une officine privée et sa mission consiste à retrouver Humbert Katz, un patient dont on a perdu la trace quelques mois plus tôt. Prise dans le tourbillon d’une guerre sans merci entre sociétés transnationales, son enquête se transforme en un périple forcené à travers l’Europe au sein d’un univers dont le burlesque apparent a du mal à dissimuler l’impitoyable violence. On retrouve dans ce roman à l’architecture maîtrisée et à l’humour caustique plusieurs personnages de « L’Hypothèse de Katz » du même auteur paru initialement aux éditions Denoël. « Bernard Pasobrola, nous offre avec cette « Mortelle hôtesse », un thriller médical impitoyable et nerveux comme son écriture, haletant comme les tourbillons secrets du sanglant conflit économique qu’il décrit. » Luis Alfredo, Rayon Polar, 6 mai 2011 « Un bon roman divertissant pour un bon moment de lecture (...) Ce roman est une bonne surprise. » Pierre Faverolle, Black Novel, 8 mai 2011 « J'admire toujours la virtuosité avec laquelle les auteurs de romans noirs bâtissent une intrigue, entre-croisent des thèmes qui semblent à des lieux les uns des autres et qui finissent par se rejoindre pour la plus grande satisfaction du lecteur. (...) Le danger dénoncé de ces laboratoires qui n'ont de cesse que d'augmenter leurs profits et sont prêts à fomenter des épidémies (ou des craintes d'épidémie) pour mieux vendre leurs antidotes et gagner ainsi sur tous les tableaux est loin d'être imaginaire. Les amateurs apprécieront. » Patrick Rödel, Mediapart, 13 mai 2011 « Au fur et à mesure que le voyage littéraire se poursuivait mon esprit trépidait au rythme des roues, m’arrêtant à quelques gares afin de laisser reposer la motrice neuronale. Puis je repartais pressé d’arriver au terme du voyage. Et cette arrivée fut un éblouissement, un concert, non de chevaux-vapeurs mais de vaches en folie, une scène très visuelle dans un déchaînement désordonné et bruyant... » Paul Maugendre, Mystère jazz, 18 mai 2011"