Salut ses p’tits clous, c'est Eric !
Oui, vous restez les p'tits clous de notre marteau préféré.
Certains me connaissent déjà par mes commentaires, je suis ce blog depuis ses débuts (il a 'fêté' ses 1,5 ans la semaine dernière, il marche - bien - et va bientôt dire autre chose que 'areuh', la maman passe une période pas facile mais j'espère que ça va s'arranger, merci). Je passe modestement au rang d'invité, un peu comme la première partie du concert, qui espère néanmoins, et sincèrement, que sa prestation ne sera pas trop longue, et que notre tête d'affiche reviendra vite.
Viendra alors le temps de m'effacer et je ferai alors comme les premières parties : je me lancerai tout seul. En n'oubliant jamais madame 'Moi, Je'.
Bon, voyons les bons côtés (pour moi bien entendu) : tu as déjà - tout en haut de tes favoris - l'adresse du blog. Pas besoin d'en rajouter une nouvelle. Et puis encore plein d'avantages, comme par exemple... euh, en cherchant bien je suis certain d'en trouver.
Bref - pour reprendre une des expressions favorites de Valérie - son p'tit clou, je suis très heureux de te parler. Enfin, que tu lises ce que j'écris.
Sais-tu que je n'ai jamais rencontré Valérie IRL ? Ni entendu sa voix ? Comme toi, je l'ai juste vue en photo récemment sur ce blog. Quant à elle, elle ne m'a jamais vu en photo. Bon faudra que je rectifie ça. A un moment qui sera peut-être plus opportun pour elle.
Allez, son p'tit clou (au fait, t'en n'as pas marre de te faire taper sur la tête ?), je te dis à très bientôt, car je sais que tu es impatient(e) de lire - enfin - les propos d'un homme sur ce blog.
Je ne finirai cependant pas ce premier billet sans assurer Valérie de toutes mes - nos - pensées les plus réconfortantes.