Edition de la Mouette (et lulu.com), 2011, 175 pages, 16 euros en livre-papier, 8 euros en livre numérique
note de lecture pour le site et blog les-agents-litteraires.com
Aïeee ça va pas être facile... Pourtant le roman d'André Gardies démarre bien, j'ai trouvé.
L'image de couverture et le synopsis en quatrième sont fidèles à l'ambiance très cinématographique des premiers chapitres : un film des années 60, en noir et blanc, un fugitif, une ambiance à la Boileau-Narcejac hésitant entre onirisme et réalisme, très prometteuse...
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 22 juin à 16:55
Pas vraiment la même lecture. Moi, j'ai plutôt aimé un certain fantastique. J'ai pensé à Todorov quant il dit que le fantastique c'est quand il y a indécision, quand on ne sait pas quelle ait la bonne piste (et s'il y en une). D'accord en revanche pour la qualité de l'écriture avec quelques bonheurs de formulation qui font mouche. Oui, aussi à ces scènes où la violence des événements évoqués (guerre d'Algérie, pension) est couplée à la violence de l'écriture. Pour moi je dirais plutôt un fort bon roman.