Or, le blogueur est sobre.
Et il n'est pas patraque.
Mais voilà, il est secoué du diaphragme.
On croit qu'il blogue en morse.
Eh bien non.
Ses amis lui ont fait peur.
Rien.
Le blogueur n'a peur de rien.
Il continue son bonhomme de chemin, oups par ci, oups par là.
Un jour il blogue pour de bon.
Le lendemain, il blogue à côté su clavier.
Toujours aussi bruyant.
Toujours intermittent.
Saute ruisseau.