Nicolas Sarkozy, le premier nommé, premier magistrat de France, premier président de la République à se rendre au dîner antirépublicain qui s'est déroulé hier au Pavillon d'Armenonville. Il ne lui manquait plus que la kippa. Il est décidément le premier dans tout, tout, tout et tout. Il le revendique. Le pire, le moins bon, le plus laid, le plus nase.
Carla Bruni quant à elle, son entrée dans la communication se passe avec brio. Une première dame d'une classe internationale. Elle compare sa situation actuelle à celle de la Shoah. Fichtre. Emboîtant le pas du CRIF, pour elle aussi, l'Internet est la matrice de la désinformation et des agressions antisémites. Suivez mon regard, aussi bizarre que ça puisse paraître, je suis le seul que l'Elysée épargne. Christophe Barbier n'a nullement évoqué ce qui m'a valu le courroux de certains blogueurs. Ils faut qu'ils réfléchissent un peu désormais ceux qui, sans réfléchir, se jettent à corps perdu dans un racisme qui ne dit pas son nom...
Barack Obama, c'est l'homme providentiel pour le monde. Je le pense. Le Kennedy "noir" comme on dit désormais outre-atlantique est pour moi, la réincarnation de Martin Luther King, cet home qui a lutté contre le racisme dans sa quintessence à savoir, négrophobie, anti-juif et arabophobie.
Le couple présidentiel est bien parti pour exaspérer de plus bel la France. Quant à Barack Obama, il est bien parti pour restaurer le dialogue entre les peuples et la paix dans le monde.