Tous les jours, ou presque, on l'entendait : le compte des jours de captivité de Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier. Au journal, à la fin d'Envoyé spécial, notamment.
Un peu comme à l'époque d'Ingrid Betancourt. Par moment, ça me filait la chair de poule, toutes ces journées prisonniers.
Et ben voilà une bonne nouvelle tiens : les voilà libres. Ainsi que leurs accompagnateurs, semble-t-il.
Enfin.
Yesss.