Encore raté ?
Ils s’étaient précipités pour demander l’arrêt de la primaire du Parti socialiste, pour attendre le messie. Ils avaient retrouvé espoir et justifié leur fiel asséné au début de cette affaire : « pas mort d’homme » et tutti quanti. Ils avaient annoncé dès ce matin, que Dominique Straus-Kahn était innocent et que son honneur devait être lavé. Ils ont même osé annoncé, avant l’audience de cet après-midi, que DSK pouvait être libéré définitivement ou dans ….une semaine. Mais, il y aura effectivement une audience le …18 juillet 2011.
C’est fini. Dominique Strauss-Kahn est définitivement éliminé de la présidentielle 2012. Dominique Strauss-Kahn, selon Cyrus Vance Jr., qui a peur de perdre sa prochaine élection, il ne peut se permettre de perdre. Les éditocrates sont réellement sur le cul. Les supporters aussi. En réalité, l’agression de Nafissatou Diallo se révèle être vraie et son passé dont parle le New York Times ne serait qu’un tissu de mensonges. Ceci a énervé l’avocat Kenneth Thomson (photo) hyper énervé par la « libération » de DSK s’est lâché.
Les détails salaces du viol présumé selon Me Thomson
Un film d’horreur en somme. Les preuves médicales sont irréfutables selon l’avocat de la plaignante. Dominique Strauss-Kahn a sauté nu sur la femme, en s’acharnant sur ses seins. Après, en la bousculant puisqu’elle se débattait, il lui a fait un gros bobo sur l’épaule et au genou au niveau des ligaments croisés. Une blessure qui serait semblable à celle des athlètes. Ensuite, Dominique Strauss-Kahn a forcé une fellation. Les preuves médico-légales montrent qu’il y a des traces dans l’hôtel et sur le col de la jeune femme et qu’il y a une blessure au vagin. Collant arraché etc…
DSK n’est ni blanchi, ni libre. Normal, tous les éléments et les faits prouvent qu’il y a eu relation sexuelle. répit de 17 jours mais, est-ce un piège tendu à DSK ? Ce qui est sûr, aucune relation consentie ne peut se faire avec autant de blessures corporelles. Passons. Le passé de Nafissatou Diallo n’a rien à voir avec ce qui s’est passé dans la suite. C’est crucial, et le reste n’est que verbiage vaseux. Les révélations de son conseil font froid dans le dos.