Magazine Enfants

Impuissante , j'ai assisté à une terreur nocturne !

Publié le 02 juillet 2011 par Mamoun
Impuissante , j'ai assisté à une terreur nocturne !
Tout bébé déja nous avions assisté , à 2 terreur nocturne , je m'en souvien , je me demandais ce qu'elle avait si petite , elle étais bébé et était inconsolable , mais je n'avais jamais assisté en direct comme sa à un spectacle des plus effrayant pour nous aussi parents ! Pas à ce point ! La c'est un bébé de 18 mois , et   Hier soir , ou plutôt cet nuit  , elle dormait depuis 2h , rentré tard d'une soirée , elle c'est reveillé en pleure , j'ai bien tenter de la mettre avec nous mais non elle ce calmé pas , j'ai pensé qu'elle étais malade ou qu'elle couvait qq chose , mais pas de fièvre rien , puis je l'ai emmener dans le séjour , la le spectacle ma vraiment fait peur , j'étais prise d'angoisse de voir ma fille qui n'entendait pas ma voix , qui ne reagissait pas , elle étais dans son " délire " dans son truc , rien ne fonctionnai , elle pleuré , se tortillait , comme si elle avait peur , ne resté même pas dans mes bras .... ce rouler par terre courrait fuyait quelque chose , J'étais impuissante , l'homme aussi et ont étais face à ce ptit bout qui étais apeuré ! J'ai pas pensé à une terreur nocturne , on à bien evidement pensé au cauchemard mais elle aurait juste pleuré , la ce n'étais pas elle ............ J'ai imaginé milles et une choses dans ma tête , j'avais peur , je m'imaginais partir aux urgence tellement son comportement étais bizarre ! Puis d'un cou elle c enfin posé sur moi et c'est apaisé ... Et à dormis paisiblement jusqu'au petit matin ! Moi j'ai super mal dormis ............
Finalement oui je pense à une terreur nocturne , je vais quand même en parler au doc , par ce que serieusement c'étais flippant de voir ma mini dans cet état second !
En lisant ces explication , c'est bel et bien une terreur nocturne , en tout cas c'est comme sa que sa c passé ! Rassuré et en même temps , pas envie que cela se repette .. Car Mamoun' reste zen et trouve toujours des solutions en cas de fièvre maladie , depuis que je suis maman j'ai vecu quelque frayeur , mais là , j'étais vraiment impuissante et c'est terriblement dure , de mon interieur , j'étais je crois presque aussi effrayé que ma choupette  ...
Qu'est-ce qu'une terreur nocturne?
Si les cauchemars effraient les enfants, les terreurs nocturnes risquent aussi d'effrayer les parents. Contrairement aux cauchemars, les terreurs nocturnes surviennent environ deux à trois heures après le coucher, durant le sommeil lent profond. Les terreurs nocturnes prennent l'allure suivante: l'enfant est confus, a l'air terrifié, transpire, s'agite dans tous les sens, crie et a les yeux ouverts. Il est facile de s'y méprendre, mais à la différence d'un cauchemar, l'enfant reste endormi. Il ne vous reconnaît pas et n'a pas conscience de ce qui lui arrive. En général, l'enfant retrouve le sommeil dans les 20 minutes qui suivent et n'a aucun souvenir de l'événement le lendemain matin. Même si elles peuvent paraître effrayantes, les terreurs nocturnes ne sont pas dangereuses en elles-mêmes et sont plus rares que les cauchemars. Elles surviennent le plus souvent chez les enfants de 18 mois à 6 ans (3 %), et touchent surtout les garçons.
 Source de ce texte 
Les terreurs nocturnes (2)
Si votre enfant semble très perturbé en pleine nuit, pendant qu’il dort, il est possible qu’il ne soit pas en train de faire un cauchemar banal; il est probablement en train de vivre quelque chose de plus sérieux : une terreur nocturne.


La terreur nocturne survient pendant le sommeil profond et est beaucoup moins fréquente que le cauchemar. L’enfant s’agite, hurle et semble terrifié. Même si celui-ci a les yeux ouverts, il s’agite dans tous les sens et manifeste une peur intense pendant 1 à 20 minutes. Il ne vous reconnaît pas et n’a pas conscience de votre présence. Il est agressif et ne supporte pas qu’on le touche ni qu’on le tienne.


On croit que, contrairement aux cauchemars, les terreurs nocturnes ont un fondement biologique et qu’elles se manifestent plus dans certaines familles. Elles peuvent survenir quand un enfant est excessivement fatigué, quand il cesse de faire des siestes ou quand ses habitudes de sommeil changent.


Elles ont lieu, habituellement, à la même période, quelques heures après que l’enfant se soit endormi durant la phase de sommeil profond. Elles sont le plus fréquentes quand le petit a entre 3 ans et 5 ans. Au réveil, l’enfant ne se souviendra probablement même pas de sa terreur.
Ce qu’il faut faire


Quand votre enfant est victime d’une terreur nocturne, n’essayez pas de le réveiller, même s’il a l’air profondément bouleversé. Contentez-vous plutôt de le veiller et de vous assurer qu’il est en sécurité et qu’il ne risque pas de tomber du lit.


S’il se réveille vraiment, réconfortez-le et rassurez-le en lui disant que tout va bien, que vous êtes là et qu’il peut se rendormir. Restez avec votre enfant jusqu’à ce qu’il se rendorme. Vous pouvez peut-être lui frotter le dos, chantonner doucement ou vous allonger près de lui.


Le lendemain, ne parlez pas de l’épisode à votre enfant sauf s’il le fait lui-même, ce qui est peu probable dans le cas d’une terreur nocturne. Demandez-lui si tout va bien, s’il a des sujets d’inquiétude. Dites-lui qu’il est en sécurité, que vous l’aimez et que vous le protégerez nuit et jour. Cela contribuera peut-être à les faire cesser.


Assurez-vous que la routine du coucher l’apaise. Évitez de regarder des émissions télévisées effrayantes ou violentes, ou de lui lire des histoires terrifiantes. Vous pouvez le calmer en lui racontant une belle histoire, en lui faisant prendre un bain, en allumant une veilleuse, en lui chantant une chanson ou en lui parlant des événements agréables de la journée.


Les médecins conseillent également aux parents de réveiller leur enfant 30 minutes avant l’heure à laquelle la terreur nocturne se manifeste habituellement : cela, pour l’empêcher de se produire. Sortez votre petit de son lit. Incitez-le à vous parler et maintenez-le éveillé pendant au moins 5 minutes avant de le laisser se rendormir.


Si votre enfant manque de sommeil ou s’il commence à éviter de dormir, consultez son médecin.
Source 

Retour à La Une de Logo Paperblog

Dossier Paperblog