Affaire DSK – Le serial « lover » de New York

On a eu un nouveau détail de l’épisode DSK au Sofitel de New York. DSK a invité dans sa suite deux employées du Sofitel. Invitées séparément à venir dans sa suite, les deux jeunes femmes ont refusé de le faire. Nous étions le 13 mai.  C’est  le New York Times qui l’explique dans son édition du jour, information rapportée par la police. Le 14 mai, le serial lover séduisait selon lui, Nafissatou Diallo.

Le journal a même finalement donné une nouvelle gifle à la pauvre Anne Sinclair en affirmant qu’il y a une vidéo qui montre l’ancien patron du FMI « monter dans un ascenseur vers 01H20 avec une femme qui ne travaillait pas à l’hôtel ». Après ses tentatives avec des femmes du Sofitel, sans oublier une troisième, la standardiste, l’homme se serait donc rendu dans un bordel pour récupérer une femme, à moins qu’il ne se soit adressé à une call-girl.

Mais qui est donc cette femme ? Il s’agit d’une femme de type européen, blonde et plutôt élancée, considérée comme…prostituée, selon une source policière.Cette personne aurait été identifiée, mais « elle a refusé de répondre aux questions des enquêteurs » sur le but de sa visite. Encore une source sous couvert d’anonymat qui prouve que le serial lover français aime être en bonne compagnie.

Alors qu’il n’y a pas d’abandon des charges à New York, une autre mauvaise nouvelle vient un peu plus ternir l’image des éditocrates et des DSK-idôlatres. Le bureau du « district attorney » de Manhattan a indiqué que les procureurs souhaitaient disposer de deux ou trois semaines supplémentaires pour enquêter sur Strauss-Kahn et sur Nafissatou Diallo. Sur cette dernière, après les pseudo révélations du New York Post, tout est à refaire

Quant au poker menteur des conseils de DSK qui affirmaient récemment qu’il ne plaidera pas coupable du moindre chef d’accusation, même secondaire, si le procureur de Manhattan lui propose un accord en vue de boucler l’affaire, l’ abandon des charges pour agression sexuelle n’est pas attendu, aucune offre de conciliation n’avait été abordée ni proposée lors de la réunion avec le procureur.