Sambucus peruviana est désormais arrosé et aspergé tous les jours. Il a maintenant sa forêt tropicale humide, il n'y manquait que l'humidité. Il a complètement redressé ses feuilles terminales peu atteintes et le bourgeon terminal est intact sans la moindre trace de souffrance. Il est certain que le terrain de Romilly lui conviendrait mieux mais je n'y suis qu'une à deux fois par semaine et il a besoin d'être beaucoup plus surveillé. Je vais ajouter à son pied de la terre argileuse de Romilly, et assez largement autour, avec du compost pour que argile+sable ne donne pas du béton. Mais la terre de Romilly est équilibrée, argileuse mais sans excès.
La feuille photographiée seule porte 8 folioles. Il peut en avoir jusqu'à 11.
Ce qui est remarquable également c'est sa pilosité, exceptionnelle pour un sureau noir. Il y a des poils sur les pétioles et les nervures mais aussi sur le limbe, sur la face inférieure et même sur la face supérieure.
Seul Sambucus palmensis (signe d'une origine subtropicale ?) a une pilosité importante sur ses jeunes feuilles mais uniquement sur les pétioles et les nervures, un peu sur la face inférieure du limbe seulement au débourrage.