De toutes les vertus que l’on puissent rêver, cultiver, répandre, et solliciter, lorsque, le désir combiné à la volonté, de transcender, les divergences de vue, la nature complaisante du repli identitaire et communautaire, la primauté non justifiée des uns sur les autres, et la décadence inacceptable et enclavée, de l’approche et la rationalisation des procédés de gestion déjà expérimentés, en cours d’exécution ou encore, ceux balisant la marche de la Guinée vers son devenir, nous font jaser au rythme des réactions intempestives, des déviations doctrinales, de la crise de confiance, de l’inconsistance et l’incohérence, des décisions, l’incrustation et l’immersion de l’élite dans le canevas de la déperdition, et l’inscription quasiment absolue, du pouvoir dans le creux de la déconvenue inexprimée, il va de soi et vue la contingence des valeurs et ce qui précède, que les vertus les plus usitées et autrement les plus partagées, peuvent demeurer hors de portée, en ce sens que, nous arpentons la marche vers l’avenir avec pour seul principe, s’il en faut, un axiome s’articulant au tour de trois critères fondamentaux, à savoir: Pensée-Action-Résultat.
Ainsi d’une approche pluridisciplinaire à une approche technique, domaniale et sectorielle, on aboutit à une franchise, qui sera fait de dérapages, et manquements avérés et susceptibles de refluer dans le cahier des charges futurs. Une approche qui loge, l’ensemble des présupposés techniques et les analyses scrutatives, dans le moule de la crédulité, quoi que, l’ensemble des données prééminentes, à la naissance d’un état de droit, laissaient pointiller, la gestation d’un espoir nourrit, une largesse d’esprit, une marge de manœuvre, pour le président élu, de surcroît, à tendance consensuelle, mais hélas, nous voilà, de nouveau, les yeux rivés, non pas, à l’interaction des forces du progrès, l’émulation et la compétition politique, toutes, inhérentes à l’existence et la consolidation de la démocratie, mais tout au plus, à la solde, des injonctions puritaines, qui font ressortir le pouvoir du cadre de son exercice instituée, voulue, habituelle et normale.
En conséquence,
le tracé des directives économiques,
la réévaluation des capacités institutionnelles de l’état,
l’harmonisation de la législation aux réformes entamées,
le redéploiement des ressources humaines,
la redéfinition des attributs et prérogatives, y compris l’octroi des moyens d’action, un nouvel système de dotation budgétaire des collectivités et des différents services de l’état, obéissent, indiscutablement à la règle de la parité et se trouvent un terrain de convenance, quand les règles d’observance politique, de suivi et d’évaluation, des dits réformes, ne souffrent, du cloisonnement des méthodes et procédés, sur fond de crispation, d’une forme révolue et compromettante de souscrire aux principes républicains, et la valse et la porte ouverte à la pseudo consécration et la confiscation pure et simple du pouvoir.
Partant, nul ne saurait persuader, le commun des mortels, qu’à ce rythme, nous puissions, atteindre 50 % de nos objectifs de développement, voir de stabilisation économique, si ce n’est macroéconomique et structurelle en 5 ans, vu que le doute se voit permis de trôner au summum des préoccupations, du fait de l’opacité et la nature largement discursive, des actes posés. Par delà, ces aspects, annonciateurs d’un futur parcimonieux, à saisir et cerner, avec des aptitudes selon les cas de figure, l’on sait la Guinée, acquise à la cause de la solidarité et du socialisme, pour avoir été enivrée, pendant des lustres, par une doctrine, censée accroître la collectivisation des moyens de production, l’omniprésence de l’état dans la sphère de la production, la centralisation économique, et administrative, édulcorées par une démocratie de type populaire. Un passé certes lourd à traîner et difficile à traire, des habitudes d’une population, aussi bien du point de vue, comportemental, mental, psychologique que sociale, mais nullement impossible, pour une élite, vivant au creux et au sein de l’imaginaire de son peuple, ayant pour sacerdoce, de relever le défi contre la pauvreté, l’ignorance, le mal être endémique qu’est le sous développement, encore moins, pour un leader, qui s’est estimé tout au long de son parcours et de sa vie, habité et guidé par un seul et unique, combat, dont il ne veut recevoir de leçons de personne, à savoir, conférer à son peuple si longtemps resté dubitatif à son égard, décence, prospérité, bien être…….
N’est ce pas un nouvel truc à tract?