La première fois que j'ai vu cette chorégraphie, je devais avoir une dizaine d'années, sur arte probablement. C'était la version avec Jean Babilée, de cela, malgré le temps, je suis sûre.Double impact.
On ne s'en remet pas pas vraiment, ou alors il faut être vraiment insensible et à Bach et à la danse, et à l'idée et la réalité de la mort. Je ne sais toujours pas, et ne veux pas savoir, refuse de savoir comment on peut mourir ainsi sur scène. L'illusion est la boule qui s'est bloquée alors dans ma gorge.
Cette boule s'est rappelée à mon souvenir à l'annonce du décès de Roland Petit.
Reste à espérer que la mort aura eu pour lui aussi ce visage d'ange.
LE JEUNE HOMME ET LA MORT from Dance on Camera on Vimeo.