En tout état de cause, dans le camp de Habré l’heure est à la mobilisation. Un de ses avocats Me François SERRES, a vivement condamné cette décision de Me Wade qu’il qualifie d’"arbitraire". "Une décision prise sans passer par le système judiciaire sénégalais" a-t-il fait noter. Pour sa part, Me Elhadji Diouf, un des membres du pool d’avocats annonce une conférence de presse de Habré dans les tous prochains jours. A Ouakam, quartier de Dakar où réside Habré, les habitants conquis par "ses largesses et son sens élevé du bon voisinage", grossissent le rang de ses défenseurs.
Les partis politiques thaïlandais doivent s'engager publiquement à respecter les droits humains,...