Si, tout comme moi, vous avez fêté la (non) Saint-Onledirapoint hier soir (billet suivra), vous avez enregistré la finale de la Staaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaracademy (prendre l’intonation favorite de Nikos).
Si tout comme moi, vous avez bêtement imaginé qu’en lançant une cassette de quatre heures à 19h30, elle enregistrerait jusque minuit, par solidarité staracadémicienne, vous avez, vous aussi, raté, la fin de la Staaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaracademy, savoir le verdict que nous attendons tous depuis les siècles des siècles, amen. Kisèkagagné ?
Si tout comme moi vous êtes blond(e)s, vous n’avez pas imaginé que le malheur guettait au coin de la porte, telle la grande faucheuse : ne pas voir Maître Moya débarquer avec le résultat, ne pas voir Quentin pleurer comme un dingue avant même le résultat, ne pas voir le même Quentin se rouler sur le sol de bonheur après avoir gagné. Mais tout comme moi, vous pouvez aller voir les images sur le site de TF1, ça vaut le détour. Pauvre Quentin, franchement, une telle émotion, au point de s’effondrer comme les Miss France, ainsi que le précise mon petit chou Kevin Moulbach, dont la dernière chronique (argh, que vais-je faire le samedi matin, si je ne puis plus lire les chronique de Kevin) est iciiiiiiiii.
J’ai l’air dépité, comme ça, d’avoir manqué la fin de la graaaaaaaaaaaande finale de la Starac 7, mais finalement je me dois d’avouer que j’ai regardé toute l’émission (sauf la fin, saleté de magnéto) en écrivant mes articles sérieux qui ne paraissent pas sur ce blog (sur ce blog c’est la déconnade à donf, vous le savez), et que donc ben j’ai rien vu, car je suis, étrangement, comme les hommes, incapable de faire deux choses à la fois, ou du moins de me concentrer sur les deux choses. Donc j’ai préféré me concentrer sur mes articles et j’ai rien perçu de la Star Ac, même pas les ballets de Kamel, le plus grand chorégraphe de France (copyright Kevin), même pas que les tournésiens rappliquaient (non pas ceux de Tournai, Belgique, ça c’est les Tournaisiens, mais ceusses qui font la tournée). J’ai rien vu. Rien de rien. Et je ne regrette rien. J’ai juste entendu Nikos et ses vocalises à rallonge « voici Jooooooooooooooooooohnny Halliday » « accueillez Paaaaaaascaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaal Obispo » et autres tournures du même style, qu’on appellera bientôt des Nikossismes (à la manière des evangelismes). Puis finalement, je me dois de l’avouer : la Star Ac, ça me fait plus rien. Rien de rien. J’ai même raté trois quotidiennes cette semaine, sans pleurer. J’ai grandi.
Enfin.
Soit.
Plus que cinq fois dormir, et la Nouvelle Star commence, avec son lot de casseroles à mourir de rire durant les castings, et puis avec Dédé (si cher à Olivia Toja, paresseuse devant l’éternel) et le nouveau jury à découvrir. Gnark gnark. On va enfin se marrer. Enfin !