Le conseil français de Dominique Strauss-Kahn avait osé déclaré: « Anne nomme sa fille Triste Anne », croyant probablement que cette jeune femme brillante -c’est le moins qu’on puisse dire après l’avoir vu et écouté-, avait réellement comme prénom Tristane. Il n’en était rien. Une entrée en matière assez ridicule s’il en est. Soyons indulgents, l’homme est courroucé. En effet, le beau Dominique, le séducteur, le dragueur, le socialiste…heu, pas vraiment, a quand même a répondre, devant la justice, de deux tentatives de viol ou viol.
La stratégie du clan Strauss-Kahn: nier en bloc.
Brigitte Guillemette est la première du camp DSK à se présenter devant les enquêteurs. Elle renie son amie intime Anne Mansouret dont elle est la marraine de sa fille Tristane. Elle affirme, la main sur le cœur que cette dernière n’est qu’une menteuse. Aujourd’hui probablement, après que Anne Mansouret ait révélé ses secrets, Brigitte la détestera encore plus. Pour une passade bureautique -passez-moi l’expression-, elle lui a piqué son mari. Camille Strauss-Kahn, face aux enquêteurs, a renié à son tour Tristane Banon. Elle a affirmé que cette dernière ne lui avait jamais rien dit à propos de la « tentative » de viol de son père en 2003…
Les enquêteurs en route pour New York:entrevue avec DSK.
La jeune journaliste écrivaine risque de faire tomber plusieurs têtes. François Hollande demande à être très vite entendu. Il se dit serein mais en réalité a peur. Me Koubbi, son avocat, avait bien raison. Ces gens feront tout pour discréditer Tristane Banon. Par tous les moyens inimaginables et imaginables. Ils tritureront le trait, feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que la jeune femme soit vue comme une mythomane. C’est officiel, les enquêteurs français se rendront bientôt à New York. C’est un scoop. Ils iront interroger DSK. Mais, personne ne sait quand ils iront sur place, puisqu’ils disent n’avoir pas établi de calendrier.
Cette affaire risque d’être rock’n'roll.
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