Investissement affectif dans le "Voyage en Orient" de Nerval

Publié le 18 février 2008 par Lauravanelcoytte


O. C, II, 225, Vienne : « Le pavillon de Marie-Thérèse, situé sur une colline qui déroule à ses pieds d’immenses nappes de verdure, est d’une architecture toute féérique, et à laquelle je ne puis rien comparer. […] Vu de la route, il couronne le château dans toute sa largeur et semble en faire partie, parce que la colline sur laquelle il est bâti élève sa base au niveau des toits de Schoenbrunn. Il faut monter longtemps par les allées de pins, par les gazons, le long des fontaines sculptées dans le goût de Puget et de Bouchardon, en admirant toutes les divinités de cet Olympe maniéré, pour parvenir enfin aux marches de ce temple digne d’elles, qui se découpe si hardiment dans l’air, et y fait flotter tous les festons et toutes les astragales de mademoiselle de Scudéri… »
Paysage vu du bas puis ascension
Mes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."
http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-...