Abdel Fatah Younès
C’est la fin des illusions. Le prix de la traîtrise. Le général et chef militaire des renégats de Benghazi s’en est allé. Comme il est venu, dans le sang. Le bourreaux des infirmières Bulgares et du médecin Palestinien Abdel Fatah Younès paie au prix de sa vie, sa traitrise. Nous annoncions, en premier, grâce au posteur Katalizeur, ses graves blessures après l’échec de la prise de Brega. Or, selon la désinformation honteuse du président du Comité national de transition libyen (CNT) et/ou galopins de Benghazi, il a été tué par des assaillants après avoir été convoqué devant une commission judiciaire à Benghazi. Le responsable du groupe armé qui a mené l’attaque a été arrêté, a-t-on appris sans plus de précisions. Ambiance.
Pourquoi Moustapha Abdel Djalil, le chef du CNT, ment-il comme un arracheur de dents ? Il est assez simple de démonter cette information puisque, tout d’abord, les fous de Benghazi ne peuvent être stationnés à Brega, après leur déroute. Les troupes de Kadhafi contrôlent la ville. Et par conséquent, il est donc impossible que le général ait pu se trouver sur place. Abdel Fatah Younès, ancien ministre de l’intérieur de Kadhafi, qui doit tout à l’homme croyait-il que les choses allaient se passer autrement ?
Le CNT brûle-t-il ? Si l’on en croit la version des renégats, oui. A défaut, sur place à Benghazi, il y a donc des pro-Kadhafi, à moins que ce soient des personnes déçues par son échec lors de la tentative de prise de Brega. Selon nos informations en revanche, le général Younès était retourné à Benghazi suite à ses blessures. Nous en parlions avant tout le monde. Enfin, nous étions les seuls à divulguer cette information.
le CNT aka Cons notables et traîtres est dans une impasse, tout comme l’Otan.
Voici Brega le 26/07/2011