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Publié le 11 août 2011 par Basicinstinct82

Selon Wikipédia,

Une niche fiscale peut être, soit une dérogation fiscale qui permet de payer moins d’impôts lorsque certaines conditions sont réunies, soit une lacune ou un vide législatif permettant d’échapper à l’impôt sans être en infraction.

Ainsi, en réaction simultanée, aux déclarations de V. Pécresse, estimant en des termes assez clairs, sur son mur facebook  » Nous supprimerons les niches fiscales », comme pour élucider un des volets, constitutifs du futur combat à mener pour baisser le déficit, conforter la fiscalité sur les entreprises et rééquilibrer le budget, tout en boostant le PIB levier de l’exportation, je me vois quelque peu confiné dans une logique âpre, même triviale, en sachant avec aisance et subtilité d’esprit, qu’à l’origine de la problématique que constitue, le développement, et le profit et le plus-value, et toutes les formes d’appropriations, d’accumulations, et d’accaparement de la richesse, trouvaient leur motivation, dans la satisfaction des besoins primo déterminés par l’existence humaine, avant que l’abondance, la stratification accrue de la société, etc…, j’en passe, ne subissent l’assaut de la dérive morale, et nous projettent dans l’arène, de la course éffreinée au profit maximum, au point de dissimuler, voir occulter, la notion de richesse.

En d’autres termes, l’explication relative au creux du déficit public, peut résulter d’une autre interprétation émanant du champ politique, vu que le désir d’hégémonie, poussent certains états à se lancer, dans certains conflits et guerres, qui les dépossèdent en lieu et place, des retombes énormes si le circuit d’utilisation, ciblait le champ des investissements.

Eh oui, bien que l’effort de consolidation des libertés et la démocratie, plane comme un devoir moral, pour libérer les peuples de l’emprise des dictatures, il n’en demeure pas, moins que l’évaluation du besoin en moyens financiers pour éradiquer, la faim et la malnutrition à l’échelle planétaire, est à un seuil largement inférieur, au coût des conflits et guerres,  qui n’ont de tenants et aboutissants,  et pour finalité que la barbarie, puisque les théories économiques, nous enseignent, dans une large gamme, qu’en investissant ces faramineux fonds, dans un circuit économique, ils généreront bien plus qu’on pourrait en attendre, en contribuant au bien être, à l’épanouissement dans une proportion qui nargue l’état de sous homme.

Ce passage n’est qu’une parenthèse, tout en servant de panels explicatifs à l’aspect que j’entends aborder, pour mieux illustrer ma conception de l’analyse à privilégier, afin d’assouplir la réforme, la moduler au gré des acquis préexistants, et mieux cibler les secteurs à soumettre à la cure d’austérité, car, outre un renforcement, une restructuration du suivi et du contrôle, sur des bases innovantes, de l’allocation des dépenses, l’extinction de la fraude dans toutes les formes de prestations sociales, il y’a que la santé publique, son enjeu actuel et futur, ses implications sur la vie d’une population, au prorata de la montée excessive, de la misère, la précarité, la rareté de l’emploi, la conjoncture économique internationale et l’apparition de nouveaux indices, dans le lexique du développement, qui consacre et accole le bien être au concept, affuble le revenu national par tête d’habitant, comme déterminant unique du niveau de vie, ne peut et ne doit faire l’objet d’une onction dégraissante pour toute politique publique, quoi que sa rentabilisation, l’optimisation et la fiabilisation de sa gestion doit constituer, un souci de tous les instants.

Par conséquent, s’il y’a des secteurs qui ne peuvent échapper à l’obligation de bénéficier des subventions publiques, c’en est bien évidemment, la trilogie de base, Santé-agriculture-éducation, vu que leur compression, font naître d’autres problèmes, qu’ils contribuent à juguler lorsqu’ils sont contenus, notamment par l’effet d’entrainement. Une population qui a un accès aux médicaments et aux hôpitaux, s’autosuffit en besoin journalier alimentaire, apprend dans des conditions décentes, est à appeler à réaliser des merveilles.

En tout état de cause, toute politique efficiente, a pour finalité, de générer bien être et apporter au quotidien des réponses concrètes aux problèmes et difficultés qui se dressent sur le chemin du devenir collectif. Alors, s’il faut s’attaquer à ce qui caractérise la singularité du modèle de base, par omission et substituer l’objectif au procédé, je me demanderais, par quelle corne, veut-on réellement attraper le torrot.



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