Il n’y a que le Nouvelobs qui n’a pas repris ce fake grossier. Selon donc une certaine presse, les rebelles libyens ont pris le contrôle du centre de la ville de Zaouïah située à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Tripoli, rapporte un journaliste de Reuters se trouvant dans la localité. Ledit journaliste annonce même que, il a vu 50 insurgés près du marché. 50 personnes réussissent à prendre une ville où il y a de surcroît une raffinerie alimentant Tripoli ?
Cette propagande est sans doute mise en place pour apeurer la population de Tripoli. Depuis mars dernier, c’est la même rengaine à propos de Zaouïah. Finalement, ces gens ne reculent devant rien pour alimenter le trouble avec cette propagandastaffel à la Goebbels. Vous me direz sans doute que c’est de bonne guerre mais, si ça vient de l’OTAN, c’est compréhensible. En revanche, des journalistes, ce n’est pas discutable mais criminel.
Depuis le début de ce conflit raciste, ces gens ne font plus leur travail. Ils ne servent que leurs bas instincts. Le petit blanc supérieur qui n’accepte pas qu’il y ait face à son diktat, la moindre résistance. Il faut gagner à tous prix, même avec la falsification des faits. Où est donc passée la déontologie ? Journalistes de guerre ou simplement propagandistes de guerre ?
Ce rêve inavoué d’un impact psychologique sur les pro-Kadhafi restera probablement lettre morte. Considérant qu’il reste un mois avant que l’ONU ne se réunisse à nouveau, il faut donc multiplier ce genre d’arnaque, en vue de déstabiliser les populations civiles…C’est le règne des victoires sans image.
Mais pendant ce temps-là, l’OTAN continue inlassablement ses bombardements meurtriers contre les civils. Dans un silence assourdissant, voilà 150 jours que ça dure. Bonne nouvelle: Les renégats de Benghazi ont été chassés de Tawurgha par la tribu Warfalla. Ils nous avaient annoncé avoir pris cette ville situé aux environs de Misrata, hier.
Le mensonge se poursuit donc. Comment des gens comme ces traîtres, incapables de pacifier les régions dont on nous dit qu’ils maîtrisent, notamment l’est libyen, peuvent-ils prendre Tripoli face à un homme populaire comme Kadhafi ? C’est improbable. Hier, le leader noir américain Farrakhan a dit et redit à tous ceux qui se sont réunis à Harlem, la vérité sur ce conflit raciste. Il a notamment dit ce que Kadhafi a fait et fait pour son peuple et l’Afrique. Le vol des avoirs libyens par les puissances occidentales.