C'est sans vergogne et avec beaucoup de plaisir et d'admiration, que j'emprunte à mes vieux amis blogueurs, le Noble Vieillard Facétieux (pour l'illustration) et la belle Dériveuse (pour le texte), leurs beaux regards ironiques et tendres sur l'inénarrable épisode urinaire d'un été ripoux :
Le directeur d'Air-France interdisant ses avions à Depardieu
" Qui, dans l'urgence, n'a pas fait pipi derrière une voiture, un arbre, ou même dans le soufflet entre deux wagons lorsque les contrôleurs avaient omis d'ouvrir les toilettes du train. C'est moins courant que toutes les crottes de chien que ne ramassent pas les maîtres ; on a le droit d'y glisser au risque d'une entorse.Le pied, c'était quand je pissais sur les pissenlits hors de ma caravane. J'étais en osmose avec le cosmos. Enfant j'avais toujours été fascinée par les paysannes qui faisaient debout, écartant leurs jupes afin d'arroser la salade. J'ai aimé André Gide parce qu'il avait écrit ce plaisir de se soulager dans la campagne. J'imagine le Pied de Nez de Gérard Depardieu qui l'a fort*, en réponse au veto de l'hôtesse de l'air. "
* le nez, pas le pied !