Je sais qu'il est particulièrement mal vu de nos jours d'étaler ses propres rêves nocturnes sur son ouaiblogue. Je vais quand même le faire, mais de manière très rapide : je ne vais que raconter l'extrême fin de mon rêve de cette nuit, tel que je l'ai noté dans un demi-sommeil.
Mais Paris est remplie de logements sociaux, me dit Bertrande, fier d'avoir transformé Paris à son image, c'est à dire avec des vélos en libre-service et des couloirs de bus.
Ouais, moi aussi, cette fin de rêve, ça me laisse circonspect. Dans mon rêve, cette phrase avait un côté doucement désobligeant voire grivois. Faut bien chercher à présent.