Magazine Journal intime

Un mythe s'effondre : je ne périrai pas dévorée par mon berger allemand

Publié le 20 août 2011 par Anaïs Valente

En bonne célibattante Bridget Jonesienne, je me suis préparée psychologiquement à être dévorée par mon berger allemand le jour où je mourrai, chez moi, seule et abandonnée de tous (pleurons dans les chaumières).  Ce qui évitera finalement de coûteuses funérailles à mes héritiers éloignés.

Et voici ce que je lis, ce matin, confortablement installée sur mon transat :

"Depuis qu'elle étant dans la police, Annabel ne comptait plus les cas où les animaux domestiques avaient fait du cadavre de leur maître un repas orgiaque.  Les chats en particulier, ils n'attendent pas que la viande refroidisse". (In Tenebris - Maxime Chattam).

Glups, vais-je devoir remplacer mes projets d'acquisition d'un berger allemand par l'adoption d'un chartreux ou d'un sphynx ?


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