Pas facile d’écrire quand on a rien à dire, quand les maux dévorent les mots, tous les MO, les 500 mots, les maux de tête, maux de coeur, haut le cœur, cœur de lion, quand la part du lion, gigantesque et indivisible, est la cause de tous les maux et que les mots me manquent, que, loin du coeur, NY me manque, que Brooklyn est en manque, de moi, de Mia, de ci, de ça, comme moi, ici, là, las d’être là, envie d’être ailleurs, d’être meilleur, d’être capable, capable d’écrire 500 mots, juste pour rire, faire rire, pour pleurer, encore, toujours, à jamais, pleurer de rire, ou pire encore pleurer de joie, moi, émoi, et moi?
Pas facile mais pas impossible, à condition de n’avoir rien à dire…