Quand l'esprit a été jugé digne d'obtenir la
connaissance, son devoir est de garder sans passion ses représentations des
choses, sans erreur les objets de sa contemplation, et sans trouble son état de
prière. Mais les préserver sans cesse des brusques révoltes de la chair, quand
les ruses du démon l'aveuglent, il ne le peut.
Maxime le Confesseur : Troisième
centurie