de la charité 3-XCV

Publié le 21 février 2008 par Moinillon
Quand l'esprit a été jugé digne d'obtenir la connaissance, son devoir est de garder sans passion ses représentations des choses, sans erreur les objets de sa contemplation, et sans trouble son état de prière. Mais les préserver sans cesse des brusques révoltes de la chair, quand les ruses du démon l'aveuglent, il ne le peut.
Maxime le Confesseur : Troisième centurie