Les rêves: analyse incroyable du subconscient

Publié le 31 août 2011 par Bizz
Rêver que je pleure ma vie dans un chalet en Gaspésie avec Mahée Paiement (!), Hélène Bourgeois-Leclerc (re-!) et une troisième vedette dont je ne me souviens plus qui c'était, ça te trouble une madame pour la journée. La raison de nos pleurs? Être une femme et une mère. Oui, oui. Aussi existentielle que ça, notre crise!
Comme tout bon rêve, certains éléments sont assez flous, mais je me souviens clairement de Mahée qui pleure comme une madeleine, avec des gros sanglots de bébé, sur sa condition de femme qu'on aime uniquement pour son corps (what the fuck?). Je sais ce que vous allez dire. Dès ce soir, je cesse de regarder les reprises d'Atomes crochus. C'est devenu périlleux pour ma santé mentale.
Outre le fait que nous avions du mascara plein le visage, je me rappelle nettement le regard paniqué d'Hélène quand, après qu'elle m'aie demandé si c'était normal de pleurer ainsi d'inquiétude pour nos enfants (parce que, elle, elle pleurait sur sa condition de mère), je lui ai répondu que ce serait ainsi toute sa(notre) vie.
Dernier détail gravé dans ma mémoire: la décoration de la chambre à coucher (Rona, sors de ce corps). Des murs d'un blanc éclatant, le mobilier noir ébène et la couette de lit blanche avec des grosses fleurs noires.
Mes propres conclusions:
1. Participer au blogue-réalité Les chefs 2011 m'a vraiment monté à la tête et je m'imagine déjà friendly avec des vedettes au point où nous pleurons en gang comme des adolescentes trop saoûles.
2. Je me désabonne de la chaîne Yoopa parce que les vraies émissions pour adulte me manque à un point tel que j'en rêve la nuit.
3. Je suis dûe pour un petit rafraîchissement de la décoration de notre chambre à coucher.
4. Quelque part, au fin fond de mon subconscient, une petite partie de moi trouve ça gros, des fois, être une maman et gérer toutes les émotions que ça occasionne.
Y a-t-il un Freud dans la salle? Un psycho-machin-chouette pour m'analyser ça, ce beau rêve-là?