"On ne parle bien que de ce qu’on connaît bien". Maîtriser son sujet est extrêmement appréciable pour qui vous lit : rien n’est plus ennuyeux que de lire un auteur qui se demande toutes les deux lignes si ce qu’il raconte est possible, vraisemblable ou correct.
Bien évidemment, vos recherches ne devront pas apparaître telles quelles dans le cours du récit, à moins que l’un des personnages ne fasse un exposé didactique sur un sujet, par exemple et encore, si vous écrivez un roman, rien n’est plus antinaturel que d’utilisez des morceaux entiers de documentation. Vous écrivez une histoire, pas un cours de littérature ou de mécanique. Les informations que vous avez acquises pourront très bien ne pas transparaître, ou devenir de simples détails semés ici et là pour donner un semblant de vérité. Ayez la main légère et surtout, faites que vos lecteurs ne s’aperçoivent de rien.