Pensu du samedi… ouep !

Dans le but d’enterrer le dernier billet dont j’ai vraiment été choyé par la qualité de vos commentaires, de vos théories et de vos explications. Vraiment, on ne peut demander mieux. Vous apportez de la matière à réflexion dans mon moulin à neurones plus rapidement que je ne l’aurais cru. Vraiment : MERCI !

J’ai réfléchi et je crois avoir trouvé la raison probable mais non-confirmé de ce recul subit et, je voudrais faire évoluer la conversation en laissant de côté la personne concernée parce qu’à un moment donné on a fait le tour de sa taille, pour se concentrer sur ces contextes et obtenir vos idées à ce sujet.

Je pose la question : À quel moment est-il viable-logique-urgent-nécessaire d’annoncer à la personne convoitée que nous sommes un parent ?

Évidemment, le plutôt possible.

Dans tous les cas, je ne crois pas qu’une personne doive porter un ou des macarons de ses enfants dans le but d’aviser la galerie dès le premier instant. On se voit mal déclarer ; « Excusez-moi, je dois vous annoncer que j’ai un ou des enfants. Maintenant que vous le savez, je débute la séduction. » C’est un non-sens. On ne fait pas passer un interrogatoire avant de séduire, pas plus qu’on sort les photos de ses enfants de son portefeuille entre deux bières, entre deux danses. On observe, on se laisse régenter par nos envies, par nos sens. On séduit.

Je prône qu’on doit l’annoncer dès la première occasion qui suivra la rencontre initiale ou à tout le moins, la rencontre séduisante. Une invitation à partager un repas dans les jours ou la semaine qui suit s’avère être, selon moi, une bonne façon de procéder. Et, s’il y a des questions qui pressent tant, les outils modernes que sont le téléphone, les courriels et les utilitaires de messageries directes existent pour être utilisés.

Quand on ne pose pas de questions…