Triturer les résolutions onusiennes est devenu le jeu favori des criminels de l’OTAN. Hélas, en toute impunité. Le côté obscur de la force. Et puis, qui va en parler et conscientiser les masses ? Plus de dévotion journalistique. La déontologie a cédé la place au journalisme de propagande mensongère et mortifère. Fichtre. Sous nos yeux, et personne ne pourra dire qu’il ne savait pas, un génocide est entrain d’être perpétré par l’OTAN en Libye. Ceci, parce qu’on veut établir un régime favorable au vol organisé des ressources d’un pays souverain qui n’a jamais demandé l’aide de personne.
Après les massacres de masse de Zliten, l’impunité aidant, c’est au tour de Tawarga de vivre sa fin. La ville est rayée de la carte. Cette petite cité paisible, pas loin de Misrata, après de nombreux bombardements pour favoriser l’entrée des renégats de Benghazi n’existe plus. Les survivants hommes ont été simplement égorgés par les soi disant insurgés avec l’aval de leur patron OTAN. Un petit détail qui ne fera pas pleurer dans les chaumières: la population de cette ville était essentiellement composée de…noirs.
Incapables d’obtenir la reddition de la ville de Bani Walid après des négociations avortées et des combats perdus, sans oublier les coupures d’eau, d’électricité, de gaz et de privation sur les livraisons de nourriture, l’OTAN est passé à la vitesse supérieure en utilisant des armes chimiques (vidéo). Oui, des témoins le prouvent, du gaz moutarde été utilisé à Bani Walid. gagner par tous les moyens imaginables et inimaginables la nouvelle guerre du pétrole. Peu importe le flocon pourvu qu’on ait l’ivresse ? L’être humain n’a aucune valeur aux yeux de ces gens et c’est même étonnant de les voir commémorer le 11/9 devenu leur arme politique, que dis-je, terroriste. De vrais monstres !
Quand ce type d’armes est destiné à être utilisé sur un périmètre important pour tuer de nombreuses personnes, elle est désignée comme arme de destruction massive, au même titre qu’une arme nucléaire. Actuellement, ce type d’armes fait l’objet d’une interdiction par une convention entrée en vigueur en 1997, par laquelle les pays signataires s’interdisent leur utilisation et promeuvent leur destruction. Tous les pays de l’OTAN sont signataires mais visiblement ne l’ont pas détruit chez eux alors qu’ils demandent aux petits pays de le faire.