Un ami, un poète, l'un des derniers, m'a écrit ce matin. Il promène habituellement sa folie, son enfance, ses élans immodérés, ses mots adressés à sa muse. Préssentant le vent fourbe qui m'a fouetté ce matin, il m'a écrit pour m'inciter à me ressaisir. Aussi je retrouve mon chemin préféré, semé de nostalgie…
Didier