Puisqu’il est question de bataille (et d’univers démesurés), voici donc le portrait de MON Goldorak à moi que j’ai. Comme vous pourrez le remarquer, il est couvert de cette poussière que font tomber les ans sur les choses oubliées (mais demeurées présentes en nos cœurs car appartenant à un tendre passé, celui de cette enfance que je ne parviens toujours pas à quitter)… mais je m’égare et deviens nostalgique (pis, poète, ce qui ne me ressemble guère). Enfin si peu.
Quoi que.
Où en étais-je encore ? Ah oui. Sur l’autre face dudit objet figure le sigle Antenne 2 (le beau, vous vous souvenez, celui avec le A et le 2 entremêlés façon antenne de télévision. Par contre, aucune date n’apparaît… serait-ce un de ces fameux collectors susceptible de m’apporter gloire et fortune ?
Cette seule pensée me rend malade. Car songer à cela… c’est être bien adulte. Or adulte, je ne le suis pas. Ne le serais jamais. Qui-que-ce-soit m’en garde (et dieu me chatouille, si possible sous les pieds ).