
Une grasse mat’ qui enivre. Qui apaise le corps, crispé par la semaine.
Au réveil, un soleil qui dégueule de lumière. Un Jou-Jou calé dans la cuisine, l’ordi posé sur la table, entouré de tartines de Nutella et de miel. Entre chaque coup de croc, Jou-Jou pouffe la bouche pleine devant une sit-com.
Deux oeufs au plat te réveilleraient n’importe quel bonhomme. C’est le cas en ce samedi matin.
Jou-Jou défonce ses tartines, s’habille et file crapahuter sur le projet du jour.
Un fute, un t-shirt, des pompes. Un couvre-chef et une machine à photographier.
Direction les murs de la ville. Et les ruelles. Par dizaines. Pendant des heures.
Une journée à jouer aux billes.
