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Sons et visions # 1 – En attendant la Rentrée littéraire

Publié le 11 septembre 2011 par Mademoiselledupetitbois @MlleduPetitBois
Sons et visions # 1 – En attendant la Rentrée littéraire

On se concentre… (génial Kevin Kline)

Non, il ne s’agit pas de la chanson de David Bowie dont je vais vous entretenir ici (son tour viendra, sound and vision). Il s’agit, avant de vous donner des Nouvelles de la rentrée littéraire, d’une sorte d’apéro du dimanche soir : quelques citations, images et musiques marrantes, légères, jolies et/ou pertinentes qui me sont revenues à l’esprit ces dernières semaines. Comme une histoire racontée en épisodes, choisis pour l’idée générale ou simplement pour une phrase relevée.

Histoire de faire sourire et entendre, avec affirmation, dérision, autodérision, selon. Et en VO selon aussi, so sorry par avance pour les oreilles mal-anglo-entendantes. Promis, la prochaine fois j’arrête les anglicismes à tout va et ne parlerai que français [– You're talking to me? – C'est à moi que tu parles ? Yes.]

En préambule et sans plus de commentaires, comme je ne peux pas résister à cette manie que je tiens de ma grand-mère (sauf qu’elle, ce sont les dictons & proverbes), commençons par quelques citations de choix… Puis enchaînons !

***

« Détendez-vous, mon vieux. » Marcel Goetlieb

« Si vous saviez comme la vie va vite et comme les choses arrivent lentement. » Guillaume Apollinaire

« Les gens simples ne sont pas si simples qu’on le croit, mais les compliqués ne sont pas si compliqués non plus. » Thomas Bernhard

« Le fort, qui connaît son impuissance, parce qu’il l’a vécue, n’a pas besoin de se prouver sa force par le mépris. » Arthur Miller

« Si quelqu’un aime citer Schopenhauer il n’est pas pour autant prêt à renoncer au corps qui lui plaît. » Kundera

« Je suis très déçu, Georges. » Otto West

***

- Otto & Archie :

In A fish called Wanda

- Adrienne :

- Jeff :

- Lou :

- 2 kids & Marvin (Hamlisch, guest-auteur de la fabuleuse chanson The way we were) :

In How to lose a guy in 10 days

- Enfin, just for me/but not for me parce qu’All That Jazz, l’ouverture de la meilleure comédie musicale depuis 2000 (Chicago, à partir de l’œuvre de Bob Fosse – on y reviendra aussi). A 6’12, la phrase-apothéose :

Come on babe why don’t we paint the town… A Bientôt !

Nb. Je décline toute responsabilité quant à la qualité de certaines vidéos qui accompagnent les chansons sélectionnées.

(Ps. Ça vaut bien un roman je trouve, en attendant de sortir la tête de l’eau. Pour citer un stalker : « non mais franchement, comment est-donc-t-il-donc qu’on a bien pu en arriver là ? »)


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