Un seul film pour cette septième journée du Fiff… qui sera le dernier, mais je l’ignore encore.
Dernier film qui ne restera pas dans les anales, tant j’ai dû lutter pour ne pas m’endormir. Fatigue de fin de Fiff, sans doute, mais lenteur de l’intrigue, en grande partie.
Ce film Viet Namien nous emmène sur l’eau, où vivent un homme et ses deux enfants. Trahi par son épouse, il s’est enfermé dans une froideur extrême, qu’une rencontre parviendra peut-être à anéantir… peut-être…
Les paysages superbes n’auront pas suffi à me captiver durant cette histoire, qui m’entraîne de drame en drame et finit par m’assoupir petit à petit. Peut-être est-ce aussi dû à la langue, très chantante, mais finalement relativement monocorde, dont peu de sentiments ressortent.