Chilpéric a eu envie de devenir un héros récurrent de ce blog.
Du coup, quand il vient, je parle de lui.
Mais aujourd'hui il demande un droit de réponse.
Chilpéric n'aime pas que l'on montre de lui cette image.
Il veut que l'on dise qu'en fait c'est un romantique hétérosexuel, qui aime les femmes de tous les âges car elles lui ouvrent les portes de jardins inespérés dans lesquels il se plaît à batifoler comme un panda dans un champ de bambous.
Il veut que l'on dise que c'est un romantique qui aime boire du prosecco devant un feu de cheminée, préparer de bons petits plats surgelés à celle qu'il convoite, les manger les yeux dans les yeux entourés de bougies scintillantes, lui en smoking dior, elle en robe de soie de soirée.
Il veut que l'on dise que c'est un romantique qui aime contempler les yeux océaniques d'une créature qui saura révéler en lui ce qu'il y a de meilleur, ce que personne n'a su voir : son coeur, immense et tendre comme une mayonnaise allégée.
Aujourd'hui, il m'a avoué au retour de la piscine avoir bien envie de fourrer.
Ouais, bon, bref, Chilpéric est un romantique qui a envie de fourrer, quoi.