ça pousse la mousse 2

Ma dernière note a fait surgir des commentaires improbables. Certains me voient en promotteur de soirées parisiennes pleines de mousse, de prosecco coulant à flot (oui, ça c'est moi qui ajoute), de pyramides de truffes au chocolat avec éclats de noisettes du piémont dedans, comme d'autres ambassadeurs et dieux de l'olympe régalent leurs invités (oui, ça aussi c'est moi qui ajoute).

Et l'on s'attend même à me voir en gogodancer. Et là, je suis forcé de briser le mythe. Si mythe il y a. Il n'y a pas ? Tant pis, je brise à tout hasard.

Certes, à chaque ménage, ma boutique se transformera en piste de danse moussue. Certes je pense savoir convenablement danser. Certes je connais suffisamment de dj influents pour venir balancer une vraie ambiance dans mon magasin (et je ne vous ai jamais parlé de ma cave).
Mais malheureusement, s'il y a bien une chose que je n'ai jamais réussi à faire (et je crains que la situation ne soit définitivement compromise), c'est de faire couler les lobes de mon cerveau dans mes pectoraux.