Ayant échoué à l'expérience que je décrivais précédemment, j'ai quand même continué à feuilleter le catalogue. Deux conclusions s'imposent :
1. Le type qui montre la procédure de filmage d'une palette n'est vraiment pas sexy, même si le film plastique étirable dont on se sert a des vertus artistiques indéniables (cf. l'installation présentée il y a quelques années à la Chapelle de la Salpêtrière, d'un artiste dont j'ai oublié le nom, mais peut être vous montrerai-je une photo à l'occasion).
2. Les tiroirs-caisse montrés en situation sont beaucoup plus excitants que les mannequins en plastique.
Ce qui me fait me demander si je suis normal.