La troisième saison de L’amour est dans le pré, made in Belgium, nous a réservé son lot de surprise, comme chaque année.
Y’a deux ans, y’avait la fameuse pelle de ghislain, trop délirante, qu’on avait maté six fois d’affilée avec Mostek, au bureau (durant notre temps de midi hein), en riant comme des baleines ayant fumé de l’herbe.
L’an dernier, y’avait quelqu’un que j’ai connu dans les candidats, top délire mégalo de découvrir une connaissance comme ça, stupéfaite que j’étais, on a fait marcher le téléphone arabe toute la soirée entre copines.
Et cette année, y’a du lourd, du très lourd.
Y’a d’abord cette première discussion :
- Tu es déjà passé à la télé ?
- Oui
- C’était pour quoi ?
- Aux assises, j’ai pété un câble contre mon patron un jour, et je l’ai tué.
Et cette seconde :
- Tu aimes quoi en moi ?
- Oh, beaucoup de choses. J’aime beaucoup ton chien.
Euh, keski est mieux, avoir un prétendant qui aime mon chien, ou un prétendant assassin ?
Je me tâte…
Allez, en attendant les prochaines émissions, je vous remets la pelle de Ghislain, et une petite tranche de rire à l’œil, une.
Et puis la confession intime du jour