Un matin rue Keller

Bon, en écrivant le titre de cette note, je me suis dit que je pourrais vous parler d'une de mes anciennes professeures d'histoire du lycée qui s'appelait Madame Keller, qui ressemblait à rien et que mon frère surnommait quelques années auparavant avec ses camarades de classe qui avaient aussi cette professeur d'histoire "keller d'andouille".

Mais moi je veux pas faire d'autobiographie.

Rue Keller, un samedi matin, après le 14 juillet, ça ressemble à un type totalement aviné qui dort devant ma boutique (pas le temps d'appeler la police, son réveil a sonné il s'est habillé parti travailler), sur le trottoir.

Rue Keller en travaux, même un samedi, ça ressemble à une descente de la préfecture de police qui vous colle des "enlèvements demandés" sur toutes les voitures, on n'a pas le droit de s'y garer, fallait pas tenter le diable, et même un samedi, alors qu'il n'y a pas de travaux.

Rue Keller, ça sent l'arrivée d'une tripotée de gars costauds et tatoués avec de gros camions de la fourrière. Et hop ! un bal de voitures en l'air !!!

Ouais, j'ai rien à dire. Bonne journée. Par contre, maintenant, je sais insérer des images !