Retour Maison-Mère

Publié le 12 février 2006 par Thierry

Aujourd'hui, il neige... Merde, moi qui avais prévu de bouger : dèj' en ville & Beaux-Arts. Tant pis. On remet ça à demain. Je n'aime pas la neige.

Hier, journée chez Ikéa. Un peu crevé, car la veille, avec A. et E., on est sorti.

On est allé au Basic, anciennement Mezzanine.

Pas mal : déco agréable - même si pas franchement orginale-originale ; bonne musique branchouille.

Par contre, on peut pas dire qu'on était étouffé par la foule.

00.30 : nous, 7 personnes, et les barmaids.

1.30 : nous. Et les barmaids

Du coup, on décide de bouger.

Pas mal de difficultés pour se décider, d'autant plus que G., le C&T de A. nous a rejoint, et qu'un trentenaire Australian Bar addict, n'a pas franchement les mêmes goûts que nous.

Tous les noms passent : Le Club ? C'est devenu trop naze. Le Net ? Marre de voir toujours les mêmes pétasses. Le b-floor ? Non, on déconne !

Finalement, un nom revient, et finit par être le choix unanime : direction la Tchouka.

Je n'avait pas mis les pieds à la Tchouka depuis plus d'un an, et ça n'était certainement pas moi qui aurait proposé ce lieu. Finalement, tout le monde était OK. Même G.

Et franchement, c'était top. Où trouver de la bonne zic, du beau monde, du beau mâle, une bonne ambiance, et de la belle sâpe ? Chez les PDs, of course ! !

Le bar est bondé, une fourmilière en Dsquared & Dior, il fait chaud, pas mal de beaux garçons, et un mix de Madonna à se damner. Moi qui n'avais pas envie de danser, je me suis retrouvé à me déhancher sur la piste avec E. & A., comme jamais depuis longtemps.

Plus subjectivement, c'était agréable de voir tous ces regards sur moi, ces sourires, ces oeillades. Ca change de tous ces bars/clubs/ parties où j'ai le sentiment d'être transparent, et les rares moments où je me fais aborder, c'est pour m'entendre dire "Elles sont bonnes, tes copines !".

Notamment, un bel homme 35/37 ans, en Tshirt rouge qui n'a pas décollé son regard. :P

3.30, on sort. On n'est finalement pas restés longtemps, mais suffisamment pour me sentir rasséréné.

C'est bon, je plaîs toujours ! Ouf !