Ouais, j’aime bien les jeux flash, même si j’ai tendance à ne pas réellement m’acharner des heures entières dessus. Il existe pourtant quelques rares gameplay et scenarii qui me plaisent, et le bien nommé Infectonator – World Domination me fait fondre.
Le concept
On est un virus du même type que celui qui agit à Racoon City. Le but du jeu, et tout est dans le titre, est d’infecter le monde entier.
Le début
Tout commence en Afrique, comme toujours dans les jeux de fin du monde (au moins ceux que j’ai pu tester). Tout est dans la progression: on commence par un village perdu avec 15 habitants dont le look varie d’un rastafari à celui d’un colombien (mais tous sont noirs). Ethiquement pas forcément top, mais pour le lol, ça passe. Une fois le village évincé, on passe à une ville du continent plus grande et ainsi de suite, jusqu’à détruire le continent. Et on passe au suivant.
Les personnages
Concrétement, le virus n’est pas tangible. Il crée des hordes de zombies (tiens, première fois que je dis le mot dans l’article alors que c’est le but du jeu … ) et vos zombies infectent et bouffent les humains. Au fur et à mesure, on débloque des zombies spéciaux, comme Mickaël Jackson ou Ronald MacDonald, mais aussi des personnages qui font un peu plus dans la private joke comme le Tank ou le Boomer (clien d’oeil à l4D i guess) ou encore Venom pour les comics.
Les compétences
Tout au long du jeu, des compétences sont à développer, comme l’augmentation de la diffusion de votre virus ou la puissance de vos zombies. Ma préférée reste quand même l’aimant à argent, qui vous permet de récolter plus rapidement le pognon au passage de la souris. Plus il y a de sang, plus il y a d’argent.
Vous l’aurez compris, c’est un jeu destructeur, avilissant mais pas raciste: vous détruisez TOUS les continents.
Je suis devenue fan des massacres ethniques grâce à ce jeu.