Ce gars là sort beaucoup trop, passe du temps avec ses potes, playstation et boîte de nuit, il occupe son esprit. Adepte des coups d’un soirs, pas le temps de s’attacher ni de se laisser aller à rêver mieux, il s’est convaincu qu’il était bien comme ça, qu’il était mieux. Parvenu à trouver un bonheur superficiel à des relations qui le sont encore plus. Etre inaccessible auprès des femmes, voilà ce qui était devenu son nouveau jeu.
« Je suis jeune, j’ai toute ma vie pour vivre comme un vieux, aujourd’hui je veux en profiter. Tomber amoureux ? Jamais »
Jamais? Non, évidemment. C’est la raison pour laquelle il est devenu ce personnage dans lequel il se cherche encore. Encore adolescent, il s’est brulé le coeur avec elle. Son premier amour. Elle était sa vie, son souffle, sa raison de sourire, un amour passionnel qui a tué sa sensibilité petit à petit. Après une idylle de rêve ou ce couple avait frolé l’idéal de ce qu’ils s’étaient représenté de l’amour vrai, l’unique. Un soir, son ange était partie. Selon elle, « c’était compliqué,tout avait changé, ils étaient trop jeunes, que peut être plus tard mais pas maintenant. » Ce discours si intermable s’était conclut par le fait qu’elle n’était plus sure de l’aimer. Ca l’avait tué. Si peu figuré, son coeur s’était arrété, un coup de couteau semblable à un électrochoc. Comment s’était possible, pour lui qui avait son coeur qui battait la chamade à chaque fois qu’elle souriait. Ce mec aurait donné sa vie pour que sa princesse l’aime à nouveau, qu’elle le regarde avec ses yeux d’avant, jamais il n’avait aimé comme ça et il ne voulait plus aimé de cette façon quiconque entrerait à nouveau dans sa vie.
Il était guérit de l’amour, guérit de ce sentiment qui l’avait transformé en bout de bois froid et au coeur de pierre.
Alors en attendant, de réaimé à nouveau son coeur s’était refermé, parti à la conquête d’une vie plus sure, moins fragile et sans crainte. Alors bien sur, ce grand seducteur joue avec le feu, répète tous ces jolis mots dont il ne disait qu’à elle, touche des corps dont il se fout, sans qu’à aucun moment, il ne cesse d’y repenser.
Sans jamais se l’avouer ni à lui ni même aux autres : il l’attend. Il l’attendra tout le temps, car pour lui cesser d’attendre ça aurait été réalisé que c’était fini.
K..*